Invité Invité
| Sujet: Ian – It's time to live ! Mar 13 Avr - 11:42 | |
|
IAN JASON JACKMAN 22 ans ― & étudiant en Sciences né à Miami, Floride, USA Eta Xi Mu = POPULAIRES Moyenne générale : 80/100 Année d'étude : 5 ème
|
Robert Pattinson
| i'm a real............................... Sociable ; Fidèle ; Intelligent ; Jaloux ; Protecteur ; Poli ; Possessif ; Rancunier ; |
the story you're about to read is true
Ian Jason Jackman est né un jour d'hiver à Miami en Floride, alors que ses parents n'attendaient pas sa venue à ce moment. Normal, étant prématuré d'un mois, il avait encore une partie de son séjour à passer. Un magnifique petit garçon qui donnait une toute autre image à la famille. Étant le premier enfant des Jackman, il est vrai qu'il a toujours été gâté d'une façon ou d'une autre, geste sans doute dû à la satisfaction du nouveau né. Côté finance, tout se passait pour le mieux, son père était directeur d’entreprise d’une assurance, et sa mère y était gérante. Effectivement on peut comprendre que depuis sa naissance jusqu’à la veille de ses neufs mois, c’était un enfant dont les parents aimaient beaucoup s’occuper de lui. Oui leurs emplois prenaient une grande place dans la journée, mais ils se relayaient, pour être sur de rien loupé du côté de Ian. Cependant la joie fut de courte durée dans cette famille qui commençait à se peupler. Le jour de ses neuf mois, Madame Jackman décéda dans un grave accident de voiture. Il avait suffit d’un virage, pour que l’automobile tombe dans un fossé, y laissant la vie de sa mère ainsi que sa tante, qui était la conductrice. Non il n’avait pas pu voir ce qu’il s’était passé et encore moins être au courant, mais c’était peut-être la meilleure chose, enfin meilleure chose pour choisir l’instant de sa mort. Car naturellement, personne n’aurait voulu que cette tragédie arrive.
Suite à ce qui s’était passé, Ian fut confié à sa grand-mère côté maternel, afin que son père puisse partir quelques temps afin d’oublier cette peine, qui ne faisait que grandir à chaque fois qu’il posait son regard sur son fils. Puis après plus de six mois, c'est-à-dire à une année et trois mois, son père reprit sa garde, vendant son entreprise pour s’occuper de son fils.
Son enfance passa à une vitesse hallucinante, et déjà depuis son plus jeune âge, Ian était très intelligent et curieux. Il voyageait entre son propre domicile et celui de sa grand-mère, car il avait prit l’habitude de partager ces deux endroits. Et pour ce qui état de son éducation tout se passait pour le mieux, il allait bien sûr à l’école, jouant avec ses copains et tout ce qui suit. Par contre, il la sentait cette différence, qui apparaissait chaque jour, dans ce que disait sa maîtresse, ou encore sur ce qui se passait à la sortie de la maternelle. Chaque enfant rejoignait ses deux parents, courant même parfois jusqu’à ceux-ci. Le petit garçon lui se contentait de suivre la scène, sans rien dire mais simplement en se demandant pourquoi ça ne se passait pas de la même manière pour lui. Et étant de nature curieux, il comptait bien poser la question à ce sujet, et c’est d’ailleurs durant un trajet à pied avec son père, main dans la main qu’il se décida.
« Papa ? » « Mhh ? » « Pourquoi j’ai pas de maman ? » « T’en as une de maman … sauf que la tienne se trouve au ciel. » « Elle fait quoi au ciel ? » « Elle veille sur toi … et je suis sûr qu’en se moment, elle doit penser à toi . » « Elle peut pas penser à moi ici au lieu de rester au ciel ? » « Non ce n’est pas possible … mais dis-toi que c’est la vie, et que parfois ce n’est pas facile … »
Ian était bien éveillé pour son âge, d’ailleurs son père parlait avec lui sans problème. Il apprenait vite les mots un peu compliqués pour lui. Et pour ce qui était de sa mère, il n’avait pas en tête qu’elle était décédée mais simplement qu’elle voulait habiter au ciel. Il ne pouvait rien y faire, comme son père lui disait « c’est la vie et parfois ce n’est pas facile. » Et mise à part ce petit souci qu’il rencontrait à l’école ou à l’extérieur, en ce qui concerne les parents, l’enfant était tout à fait épanoui. Son entourage faisait en sorte qu’il ne se sente pas à l’écart par rapport aux autres, et n’ait pas de moments moroses. Pour ce qui est de la suite, Ian continua à grandir, tout en vivant de la même manière qu’auparavant, découvrant de plus en plus de chose comme le fait que sa mère ne soit pas parmi-eux. Oui il en voulait à son père qu’il ne lui ait pas dit directement, cependant il faisait ça pour le protéger, et d’ailleurs il lui en a longtemps voulu. Mais dans le fond, il remercierait son père plus tard, voyant comment il l’avait éduqué et comment il s’était bien occupé de lui. Quelques temps plus tard, le jeune garçon et son père emménagèrent à Los Angeles, un ville comme toutes les autres, mais qui leur permettait de prendre un nouveau départ.
Côté famille, son père s’était remarié, ce qu’il avait du mal à accepter. Malgré qu’il soit à présent assez grand pour laisser son père vivre en paix, il ne pouvait pas s’empêcher de dire que sa « belle-mère » n’avait pas le droit de prendre une place aussi importante dans sa vie, ainsi que dans celle de son père. Le jeune homme n’était pas habitué à vivre en compagnie d’une femme qui prenait les mêmes responsabilité que sa mère à son égard, auparavant, d’ailleurs les conflits ont longtemps éclatés dans la famille, mais après un certain temps, il devait bien admettre que son père avait le droit de recommencer sa vie avec une autre personne, même si dans le fond cette place était destinée à sa mère, et qu’elle était irremplaçable.
Ah l’adolescence, une grande partie de notre vie, partie parfois difficile à gérer, mais il faut bien y passer et c’est ce qui nous rend plus mûr, après tout dépend les mentalités. Au collège il étudiait normalement, il entrait tout juste dans l’adolescence, où il apprenait à connaitre les filles. Au lycée, son père s’occupait moins de lui, ce qui était tout à fait normal, étant donné qu’il était bien plus autonome et pouvait s’occuper de lui sans que son géniteur n’intervienne. Le jeune homme faisait son possible pour réussir en cours, notamment en sciences, matière qu’il adorait. Coté filles, il était tout ce dont elles rêvaient ; intelligent, populaire, athlétique, serviable, fidèle,… Seulement lui n’était pas le genre de garçon à changer de petite amie aussi régulièrement que de chemise, bien au contraire. Il restait en couple plusieurs mois, six en moyenne, et tenait une réputation d’homme inaccessible. On ne reconnaissait plus tellement le petit Ian qui avait été éduqué par son père et sa grand-mère, après la mort de sa mère. La journée, le jeune homme passait son temps à étudier sans répit, et chacune de ses soirées, il les passait à droite et à gauche, dans toutes les soirées auxquelles il était invité.
Ayant ensuite terminé le lycée, il comptait obtenir une bourse d’étude afin de continuer ses études dans les meilleures conditions possibles et pouvoir obtenir un métier d’enseignant ou de chercheur. Et pour ce qui était de l'université dans laquelle il entrerait, il avait choisi l’University of Southern California, sachant tout de même ce qui l'attendait sur place, mais normalement ça ne devrait pas être dramatique et encore moins ennuyant.
- C'est quoi ton ptit nom ? Et pseudo ? : L. Myster L.
- T'as quel âge ? : Entre 0 et 1000 ans =)
- Ton avatar ? : Robert Pattinson
- Tu a pris un poste vacant, scénarii ou tu là inventer ? : Post Vacant
- Fréquence de connexion ? : 6/7 jours
- Où as-tu connu le forum ? :Obsession
- Comment tu le trouves ? : Il a l'air vraiment sympa, dommage qu'il y ai beaucoup de fautes d'orthographe
- Code du réglement ? : Code correcte by Joe (:
- Exemple de rôle play :
- Spoiler:
Cette odeur… Ces images… Cette souffrance…
La respiration haletante et le rythme cardiaque anormalement élevé, je m’éjectai de mon rêve, et de mon lit. Comme si un lit de fusion venait de s’élever contre moi, mes mains, mon visage, mon corps étaient chauds et imprégnés de sueur. Que c’était-il passé …?
FLASH BACK
Une nuit de pleine lune, une forêt dense, voilà où je me trouvais. Des grognements de loups parvenaient à mes oreilles. Tous les sens en alerte, je me tournais dans leur direction avec appréhension. Ces grognements faisaient naître en moi des sueurs… Mes poils s’horripilaient sur ma peau, ma fréquence cardiaque s’accélérait, ma respiration se cadençait… En face de moi ces grognements m’obsédaient… Mais soudainement, les bruits s’étaient déplacés, ils s’intensifiaient et résonnaient dans ma tête comme si ces loups m’appelaient. Je me retournai encore, encore et encore. Tout s’accélérait, je me sentais faible, vide, impuissant, mais ces cris s’entremêlaient à ceux d’un homme ; un homme qui soufrait sous les coups de mes frères. Des rugissements de douleurs, des gémissements, des cris, des hurlements, de partout… Mon cœur s’emballait, je cherchais encore et toujours où aller, dans quelle direction. Plus j’attendais, plus les bruits s’entremêlaient. Le vent, les loups, l’homme, les autres animaux sauvages… Je me sentais m’affoler, et plus le temps passait dans cette forêt plus je m’y perdais. Je me mis à courir dans une direction, puis dans une autre, je cherchais des sons, des images, des traces, un passage… Mes jambes se faisaient lourdes, et alors que j’errai, à bout de souffle entre ces arbres qui se ressemblaient, les bruits s’estompèrent. Je n’entendais plus qu’une voix, une voix qui m’appelait à l’aide. Cette voix je … Eric !
Je reprenais ma course folle, repoussant les feuilles comme elles venaient, évitant les troncs, les racines, les branches, et arrivais bras ballants sur la scène d’un théâtre lugubre et dramatique. Eric, il était là. Je criais son nom et courait vers lui, pour le sauver ! Le sauver de ces… Non… Trois lycans se trouvaient là, trois lycans de mon clan, trois amis de confiance, ils se battaient de manière acharnée contre mon frère Eric. Je ne comprenais pas. J’appelais mes frères à cesser le combat, je les suppliais d’arrêter et de laisser l’humain s’en aller. J’étais aveuglé par les larmes, par la tristesse. Je refusais d’y croire mais la vérité m’éclata à la figure. C’était comme un coup de tonnerre dans ma tête. Tout autour de moi, tout, se mit à tourner. Dans cette danse folle je devais me rendre à l’évidence, mais je persistais à y croire. Je mettais ma tête entre mes mains comme pour éviter à un mal d’entrer dans ma tête, de s’emparer de mon âme, de mes souvenirs, de mon amour pour mon frère ! A mesure que je m’acharnais le décor autour de moi accélérait sa danse, je devais me rentre à l’évidence : Eric n’était pas un humain… Je tombais à genoux. Déséquilibré, je m’affaissais lourdement. J’étais comme enchainé par les lianes de cette foret, et j’assistais impuissant non pas tant à la mort de mon frère… Mais à la vérité ; sa trahison. La douleur que je connaissais était bien pire que toutes les douleurs que j’avais pu ressentir jusqu’alors. Les coups de mon père, la négligence de ma mère, le départ de mon frère, la mort de mon père spirituel, tout cela semblait ne plus avoir d'importante. L’intensité de cette douleur gagnait ma tête, si j’avais pu mettre fin à mes jours maintenant… ! Les trois loups s’élevaient ensemble contre le vampire, enchainaient les coups, laissant le vampire à terre.
Mais au moment du coup final, au moment où mes frères allaient porter le coup final, les loups disparurent, les hurlements de douleur cessèrent, il ne restait plus aucune trace de la foret, ni de la Lune… Tout cela laissa place à un décor monochrome ; une intensité blanche et aveuglante dans laquelle seul persistait, en face de moi, l’image d’un homme ; Eric, mon frère –un vampire… Aveuglé par le soudain contraste de luminosité, je baissais la tête et dans un réflexe plaçait mon avant bras devant mes yeux. A peine quelques secondes plus tard, la lumière se cachait... Je retire mon bras, relève la tête, c’était la silhouette d’Eric… Ces lèvres s’articulent, il avance vers moi, le bruit de ses pas sur le sol résonne alors dans ma tête de la même façon que celui des pas de mon père résonnait sur le vieux parquet grinçant du salon lorsqu’il me battait. Il sourit, il me parle, il rit. Je suis pourtant bien incapable de saisir le sens de ses paroles. Moi qui m’étais toujours imposé d’être fort, de ne pas faiblir devant l’ennemi, je me senti soudain vulnérable. Je voyais Eric avancer tel un bourreau s’avançant vers la guillotine. Je l’appelle, je crie, je hurle, mais rien n’arrête sa marche mortuaire. Sa voix résonne dans ma tête, ses paroles incompréhensibles me hantent et la peur paralyse mes membres. Que m’arrivait-il… ! Je fermais les yeux et tombais une nouvelle fois à genoux. Mes larmes se pressaient au bord de mes paupières et finirent par se frayer un chemin jusqu’à la sortie. Tout ce que je voulais, c’est que se cauchemar s’arrête enfin !
Soudainement, comme si mon vœu avait été exhaussé, l’éclatante blancheur s’assombrit. Je relevais la tête et assistais alors à la remise en place du décor. Les loups réapparaissent et reprenaient leur danse autour de l’ennemi, à ceci près : ils étaient désormais quatre… Un seul et unique coup et…
FIN DU FLASH BACK
Le regard perdu dans le vide j’étais face à mon lit. Jamais un rêve ne m’avait paru aussi réel. J’étais terrorisé à l’idée qu’il puisse être vrai, j’étais terrorisé que mon frère puisse être un de ces vampire sanguinaire. J’étais l’incontesté père loup des Seigneurs des Tempêtes, mon rôle sur Terre était simple : détruire ceux qui souillent notre terre. Mais j’étais aussi, et peut-être avant tout, Tomas Newton, le frère d’Eric... Eric m’avait sauvé de la violence de mon père et de la mort, les loups m’avaient montré le chemin, ils avaient donné un sens à ma vie, ils étaient tous sans exception mes frères, ma seule et unique famille. Je fermai les yeux pour m'isoler et calmer mon âme en folie. Je contrôlais à présent ma respiration et les battements de mon cœur. Derrière moi, un souffle frai me caressa l’échine. J’ouvris les yeux et me retournai. Devant moi la fenêtre était ouverte sur la grande dame blanche qui veillait sur nos nuits. Je m’avançais vers elle et m’assis sur la fenêtre. Tout devenait clair. Eric m’avait abandonné après m’avoir sauvé la vie, les lycans m’ont sauvé et ne m’ont jamais abandonné… Mon choix n’était donc plus à faire.
- Autres :
Dernière édition par Ian J. Jackman le Mar 13 Avr - 14:12, édité 5 fois |
|