ETA XI MU Pandore Opsum
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| Sujet: Et une boite lui fut mortelle [ Pandore Opsum] { Terminé } Mer 21 Avr - 0:20 | |
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Pandore Opsum 21 ans ― & étude de droit . née le 9 avril 1989 à New-York (USA- New-York) Eta Xi Mu Moyenne générale : 75/100 3 éme année
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Mia Wasikowska
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i'm a real...............................[/size]Malicieuse;Égocentrique; Élégante ; Belle ; Mystérieuse ; Charismatique ; Intelligente ; Curieuse;
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the story you're about to read is true
► MODE FICHE TRADITIONNELLE :
Elle se rendit soudain compte à quel point la vie l'avait gâtée. Son enfance avait tout ce qu'il y avait de plus banale pour les jeunes riches de Manhattan. Son père avait eu hérité de la grande chaîne d'hôtels Opsum et avait su en profiter. Elle avait eu l'habitude qu'on la serve, qu'on lui montre à quel point elle était importante. Toute sa vie n'avait été que délice, du moins, ce le fut pour son enfance. Elle se rappelait ses multiples vacances aux Bahamas, le bleu éclatant de l'eau plongeant dans l'océan, et de ses fleurs aux couleurs chatoyantes. Elle tenta en vain de retracer le léger parcours de sa vie. Seulement un épisode de son existence lui claqua au visage, la raison même de sa venue dans cette université.
9 avril 2010
Elle avait rencontré Merton lors d'une fête pour ses 21 ans. Elle était encore jeune et insouciante et croyait stupidement que la vie ne lui apporterait que de vains plaisirs. Oui, elle l'aimait cette vie, elle l'aimait cet amour presque platonique avec la vie, cette flamme qu'elle aimait effleurer rapidement de peur de se brûler. Elle avait prévue pour cette soirée de sortir en boite avec une dizaine d'amis, pensant bien profiter de la nuit autant qu'elle lui appartenait. Ce soir là, elle rayonnait comme à son habitude, et son aura charismatique l'englobait entièrement. Elle fit quelque pas, passa à travers la foule qui voulait rentrer à l'intérieur de la boite, provocant des injures à son égard, et se suffit à leurs lancer un large sourire. Son élégante arrogance la rendait irrésistible. Elle avançait parmi la foule grouillante avant de s'asseoir à une table qui leur était réservé. Elle avait goulûment le liquide alcoolisé avant de s'avancer vers le bar . Elle s'asseyait sur un tabouret et soudain, un susurrement lui chatouilla l'oreille . " Rejoins moi sur le toit ". Cette voix n'avait rien d'habituelle, elle était rauque et pourtant si douce, si attractive. Séduite par le mystère de la proposition, elle se dépêchait boire sa tequila et se ruait vers l'ascenseur. Elle se suffit à donner deux gros billet au barman pour qu'il l'emmène au toit . Lorsque les portes s’ouvrirent, elle aperçut une silhouette. L'homme était grand et assez fin, Pandore plissa des yeux dans le but de voir des détails de cette sombre silhouette. Elle observa légèrement le lieu, et fut surprise d'apercevoir un large canapé ainsi qu'une ambiance cosy, surement que le lieu devait être réservé au grands privilégiés Elle avança et ses talons claquèrent au sol.
" Qui êtes vous ?" demanda t-elle d'une voix hésitante - A quoi vous servira mon nom ? Je ne suis qu'un visage, il se retourna, à vos yeux, je ne serais qu'un inconnu. Désormais vous m'appellerez ainsi, l'inconnu.
Il avait un visage fort plaisant, à la fois fin et mystérieux. Ses deux billes noires de ses yeux agissait comme un aimant sur Pandore qui s'avançait à grand pas du jeune homme.
- Que me voulez vous ? dit elle - Je ne sais pas, je pense souhaiter vous connaitre, vous me paraissez bien extraordinaire pour une jeune fille. - Et vous bien trop mystérieux.
Une alchimie trop parfaite s'installait, l'attraction dangereuse étouffait Pandore, elle se suffisait à fixer son bel inconnu. Soudain, elle sentit le même souffle chaud dans son coup, son inconnu venait de se faufiler derrière elle.
- Je te connais bien plus que tu ne le crois Pandore
Elle ferma les yeux, sentant ses lèvres se poser longuement sur son cou de cygne. Une passion folle lui montait à la tête, et cette prude jeune fille décida sans autre forme de réflexion se donna à cet inconnu. La nuit s'allongeait au fil de ses baisers. Elle finit par se réveiller aux minces rayons du petit matin. Elle retrouva griffonné en lettres grossières sur un papier cartonné un message "ne t'inquiètes pas, je te retrouverais ". Elle sourit avant de porter le message à son cœur.
15 avril 2010
Elle marchait lentement dans Central Park, ce parc avait le don de la calmer. Elle se souvenait y être allée nombres de fois avec sa « Nounou » comme elle l’appelait. Elle aimait se rappeler ses années d’innocences et de candeur. Elle souriait au souvenir de ses éclats de rires d’enfants, se rappelait de la sensation d’être porter dans les bras fragiles de sa nourrice. Elle n’avait pas revue cette dernière depuis des années, ses parents l’avaient congédiés lorsqu’ils avaient vaine idée de l’éduquer eux-mêmes. Qu’ils étaient utopistes. Et Pandore le savait, si elle avait eu la chance de vivre avec une petite cuillère en argent dans la bouche, elle devait vivre sans ses parents. Cependant, cela ne la gênait pas, elle savait que ses parents feraient de piètre père et mère. Elle prenait le temps d’observer les fleurs entourant le chemin qu’elle prenait, il y avait des tulipes, des roses ou encore des iris. Le doux parfum du printemps embaumait ses narines. Elle s’assit sur banc, il faisait encore tôt dans cette matinée ensoleillé d’avril, et le parc était étrangement vide. Elle sentit le vent frais courir entre ses jambes et sa robe légère se souleva. Elle fixa quelques instants le soleil de part ses lunettes Wayferer, avant de regarder le sol avec attention. Une main se posait sur son épaule, elle tressaillit un instant avant de retrouver son calme habituel.
« Tu vois que je tiens mes promesses »
Elle savait qu’il était là, il aurait été bien inutile de tourner sa tête pour s’assurer de son identité.
- Je te connais bien me que tu ne le crois, continua la voix rauque. Il s’assit à ses côtés, et Pandore put encore une fois admirer le mystère de ce visage si attirant.
- Et moi également, Merton …
Elle eut un sourire de malice, en effet, elle avait quelque recherche sur ce bel inconnu, et son large cercle d’amis n’avaient pas eu de mal à la renseigner. Il fit tout d'un coup une légère grimace, quant à elle, elle ne pouvait de sourire à l'idée d'avoir retournée la situation. Ainsi elle était reine, tandis que lui se retrouvait rétrogradé au simple rôle de valet.
-Je ne suis pas la première, je le sais. Il parait que tu as un penchant pour les cougars, que tu leurs prends tout leurs argent, et que cette fois ci, tu as voulu attaquer une cible plus jeune, pour changer. Dommage que la cible soit plus maligne que toi. Seulement, tu ne m'auras pas. Je ne souhaite pas être prisonnière d'une relation qui ne pourra persévérer qu'en utopie. Je n'ai plus qu'à te dire au revoir.
Elle se permit un dernier baiser sur la joue, avant de partir assez loin de lui.
HORS
JEU
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C'est quoi ton ptit nom ? Et pseudo ? : Je m'appelle Lise, et pis, pour le pseudo, comme vous voulez, on va dire Pandore [ soyons originale x) ]
- T'as quel âge ? 15 ans et des brouetteq
:
- Ton avatar ? : Mia Wasikowska, mais siii, c'est Alice dans le film de Tim Burton
- Tu a pris un poste
vacant, scénarii ou tu là inventer ? : inventé
- Fréquence de
connexion ? : 5/7 jours
- Où as-tu connu le forum ? : grace aux partenariats avec Luxury
Comment tu le trouves ? : Pour le moment, super
- Code du réglement ? : code ok'dak par coke
Exemple de rôle play :
- Spoiler:
Aujourd'hui semblait être le stéréotype même d'une journée maussade. Depuis mon appartement, j'observais le ciel qui crachotait doucement une légère pluie qui se transformait en une averse certaine. La tour Eiffel elle même paraissait se plaindre du temps, et disparaissait peu à peu dans la brume englobant la cité. En réalité, la ville entière avait l'air endormie, devant ce ciel décourageant. Les rues étaient vides, et les volets fermés. Oui, ç'aurait dû être un dimanche bien triste. Si, le temps d'une seconde, je me décourageais de sortir, mon esprit londonien me rappela que lorsque l'on traverse la Manche, le temps est bien pire que cela. En effet, les rumeurs qui se faisaient sur le temps exécrable de ce pays d'outres mers étaient entièrement vraies. Je me souviens avoir connu l'Ecosse, le temps de vacances scolaires . Je me rappelais de ce ciel à la limite du macabre, et de ce Soleil aux abonnés absents. En effet, j'étais encore une enfant, et je m'imaginais que cette couche de nuage gris épais avait tué le Soleil. Une sorte d'enquête astrale s'en suivait. A ma grande surprise, cela me plongeais dans un profond mal du pays. J'avais toujours voulu rester à Londres . C'était un regret certain, finalement d'être monté à Paris, seulement il s'agissait d'un besoin vital. Je me devais de fuir ma vie de Londres, tout cela à cause d'une futile et vaine personne. La brume tombait de plus en plus lourdement sur la capitale, créant un brouillard à couper au couteau. Paris était tellement londonien ! Je m'installais sur le balcon, une clope à la main, et je regardais au loin à m'en donner le vertige. J'avais une vue extraordinaire sur tout Paris, et c'est ce qui faisait tout le charme de cet appartement, mais aussi le prix de son loyer. J'avais toujours voulu me ne plus être dépendante de cette famille, sauf qu'avec le temps, l'argent été devenu comme une drogue à mon égard. Il me suffisait de souhaiter quelque chose pour l'avoir, tout est si simple quand on est riche ...Mes yeux tombaient au sol, et la vue des rares passants me donnait le vertige. Je les voyais, ridiculement petit, avançant à grand pas pour éviter les légères gouttes tombant du ciel, et cette vision me fit soudain rire. C'est vrai qu'il y avait comme un ressort comique à la situation, ils étaient là, minuscules, à grommeler des insanités, tout en courant maladroitement dans ces grandes rues. J'avalais une dernière bouffée de fumée, avant de jeter négligemment le mégot au sol. Je retournais à l’intérieur, et m’asseyais sur ce canapé ramené du Maroc par je ne sais quel amant de ma mère, et qu’elle avait cru bon de me donner. Je caressais doucement le cuir, et me surprenait de sa froideur. Mes doigts se figeaient, et ma main peu à peu se glaçait. J’échappais le plus vite possible de ce sentiment inconfortable, avant d’attraper le petit carnet sur la table basse. J’observais la page du lundi 10 janvier, avant de m’apercevoir que je manquais à mon devoir de bonne étudiante, en oubliant ce devoir, donné par ce maudit professeur d’histoire de l’art … Je devais ainsi, photographier quelque chose représentant Paris. J’eus été tentée de prendre mon appareil, de prendre en photo cette vue, mais cela me parut si simple que je m’y résignait. Non, je souhaitais que ce travail soit fait sérieusement, et j’envisageais de sortir, et pourquoi pas le Marais ? J’avais pris l’habitude d’y faire mes courses, en réalités, c’était ces étroites ruelles qui me plaisait. Il y aurait, certes, du monde, mais peu importe, si un endroit devait représenter Paris, alors il devrait être beau. J’enfilais une petite cape qui donnait l’impression que je sortais du conte du petit chaperon rouge, bien qu’elle fût noire. J’enfournais mon appareil dans une énorme sac, et me lançait à la conquête de Paris. Mon orgueil originel l’emportait soudain, et j’avais la soudaine impression qu’aujourd’hui me réussirait forcement. Je prenais mon parapluie, avant de héler un taxi d’une voix suraigu. Je tentais de comprendre le discours du chauffeur, seulement son accent qui me paraissait inconnu et mon français approximatif me poussait à feindre de comprendre en hochant quelques fois de la tête. Je me contentais de tourner la tête en direction de la fenêtre crasseuse. Je levais les yeux au ciel, il semblait que le temps s’améliorait, et déjà, l’averse penchait à s’arrêter. Je sortis du taxi, tendant rapidement un billet de vingt au chauffeur, et respirais l’air brumeux et humidifié. Celui-ci me traversait toute entière, et je sentais l’air froid rentrer dans mes poumons. Une harmonie parfaite me remplit, tandis que je rejetais l'air froid de par ma bouche. La brume restait sur Paris, et l'air frais me rosie les joues. J'aimais ce vent léger qui me glaçait, il me rendait libre. Il me donnait l'impression que rien ne comptait, qu'il suffisait de suivre les vents pour réussir. Une idée assez niaise dans laquelle je croyais depuis l'âge de cinq ans. Je marchais sans savoir aller, et peu à peu j'oubliais ce que j'étais venue faire. Je marchais, les yeux à demi clos, et c'était le pas léger que je suivais mon instinct. Seulement, celui fut interrompu par un coup d'épaule rapide et vif. Je tombais lourdement du trône que je m'étais attribué, et ma chute me fit perdre tout mes moyens. Je tombais littéralement au sol, et me levait difficilement. J'observais une présence rouge sur mon genou, et la déchirure de mon jean semblait s'agrandir de secondes en secondes. Je gromelais un "shit" avant de crier à la personne qui venait de me bousculer une phrase ... Certainement un " Vous pourriez dire pardon ! " incompréhensible avec mon accent. Celle ci se retourna vivement, et je fus frappée par cette image. Elle était là, ma photo; j'avais ici l'allégorie même de Paris. Je courrais maladroitement pour rattraper cet(te) inconnu(e), et lorsque cela fut fait, je laissais sortir de ma bouche des brides de phrases dont j'esperais qu'elles ne soient pas totallement intelligibles .
" Euh, excusez moi, je peux vous prendre en photo ... Enfin, c'est que .. Well, j'étudie au Beaux-arts, et je dois trouver une allégorie de Paris, et si ça ne vous dérange pas, j'aimerais bien vous photographier"
- Autres : Rien de spécial ^^
Dernière édition par Pandore Opsum le Mer 28 Avr - 16:53, édité 7 fois |
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ETA XI MU Pandore Opsum
• Messages : 20 • Date d'inscription : 17/04/2010
| Sujet: Re: Et une boite lui fut mortelle [ Pandore Opsum] { Terminé } Lun 26 Avr - 21:44 | |
| alors, premièrement, désolé pour le retard, je n'ai pas trop d'inspiration --' . Et pis, je suis vraiment pas douée avec le html, c'est grave si ma fiche est moche . x) Ah et puis thomas, c'est vrai je suis sur paris ^^, et toi tu es ? |
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