Invité Invité
| Sujet: Zaelynna L. Reinhback Dim 31 Jan - 1:54 | |
|
ZAELYNNA LUXIARIA REINHBACK 20 ans ― & étude de psychologie né(e) à Ville Boston - USA (amérique) Phi Omicron Moyenne générale : 80/100 Année d'étude : 3 éme,
|
dianna agron
|
i'm a real............................... drôle ; impulsive ; impatiente ; douce ; taquine ; têtue ; rancunière ; attentive ;
|
the story you're about to read is true
► MODE FICHE TRADITIONNELLE : D’une mère très belle et d’un papa très riche, j’avais eu la chance de promouvoir la génération parfaite. Mais la vie n’est pas un conte de fée, l’absence de mes parents ne m’affectait pas trop puisque l’argent les compensait. L’enfance était parfaite, malgré l’éducation faite par une nourrice. Toujours servie, toujours gâtée, j’apprenais la politesse et recevait un enseignement à domicile. Il fallut tout de même une ombre au tableau. Lorsqu’il était là, tout basculait & la peur prenait possession de moi.
« Clac, Clac, Clac… J’entendais ses pas, les semelles dures de ses mocassins italiens claquaient contre le parquet qui menait jusque ma chambre. Un grincement de porte et je tremblais de tout mon être sous les couvertures qui décoraient mon lit. Je sentis ma ‘protection’ glisser lentement, découvrant ma tête, gisant sur mon épaule pour s’arrêter sur mon flan. Je savais que je me devais de crier pour ma sécurité, mais j’en étais incapable, comme si une putain de boule empêchait l’accès aux sons. L’individu caressait mes cheveux, chaque soir lorsqu’il était présent, c’était le même rituel, il entrait, me découvrait de toutes couvertures et commençait à me caresser les cheveux me soufflant des mots doux à l’oreille. Cela paraissait normale pour certains, mais la suite est d’autant plus désastreuse. Georges Williams, deuxième de sa génération, était un père odieux, cruel & pervers. Il continuait de me caresser les cheveux et lentement, me tournais de façon à ce que je lui fasse face. Le regard terrifié je le regardais, suppliant de me laisser tranquille, je savais bien évidemment la suite de cette histoire. Georges me caressait la joue, d’une manière perverse, en me promettant qu’il ne me ferait aucun mal. Foutaise, cet homme était un menteur né. Sa main descendait de ma joue à mon cou, retraçant ensuite le contour de ma poitrine, je pleurais en silence, & seulement lorsque j’osais échapper un geignement, il me fit signe de me taire, devenant violant, plaquant l’une de ses mains sur ma bouche tandis que l’autre caressait pressement mon corps fragile. Mon père était une ordure. J’étais l’objet de ses désirs les plus répugnants qu’ils soient. La première fois, j’avais onze ans, je commençais tous juste à prendre des formes de jeune femme. Après quatre longues années à souffrir en silence, je me dévoilais enfin à ma mère, qui se maudissait de ne jamais être là. Mon adolescence fut gâchée par un père pédophile… »
A l'âge où toute les jeunes filles commençaient à avoir un petit ami, je restais dans mon coin. J'avais trop peur des garçons. Oui, j'en avais peur, et cela en était compréhensible. J'avais de bonnes notes, me réfugiant donc dans les cours, les bibliothèques, tout ce qui pouvaient m'empêcher de penser aux garçons. Seulement, rien ne se passe jamais comme on le souhaite. Et c'est donc ainsi, en lisant un livre à la bibliothèque, que je rencontrais mon premier petit ami. Celui pour qui toute mes craintes sont tombées et à qui j'ai appris à faire confiance. Après tout, j'étais une fille normale.
En ayant appris à reprendre confiance aux autres et surtout en moi, je m'épanouissais peu à peu, n'ayant plus peur de m'habiller à la mode, de parler en publique, de me faire de nouvelles amies. En parlant d'amitié, il est évidant que dans mon caractère, je sois une amie fidèle et à l'écoute, je ne suis pas influençable et certainement pas garce. Je suis une fille assez drôle, j'adore faire des bêtises. J'ai un tempérament assez fort, j'aime avoir raison, il y a des jours où je prend sur moi pour ne pas déclencher une dispute. Je suis une fille à l'écoute et jamais je ne dévaloriserais quelqu'un pour quoi que ce soit.
Mon entrée à l'université fut tout à fait normale, et aujourd'hui j'étudie dans la psychologie. J'aime beaucoup écouter les gens et essayer de les comprendre pour pouvoir les aider par la suite. Je suis également cheerleader et je prend tout ce que j'entreprends au sérieux.
- C'est quoi ton ptit nom ? Et pseudo ? : Magali
- T'as quel âge ? : 17 ans
- Ton avatar ? : Dianna Agron
- Tu a pris un poste vacant, scénarii ou tu là inventer ? : Inventé, désolé :s
- Fréquence de connexion ? : 5/7 jours
- Où as-tu connu le forum ? : Florian
- Comment tu le trouves ? : J'aime assez bien. J'adore le design
- Code du règlement ? : Code correcte by Joe (:
- Exemple de rôle play :
- Spoiler:
Kostos avait-il pris en maturité ? Je n’en doutais guère, malgré le fait qu’il restait perplexe devant moi, il m’épargna l’imitation du poisson rouge qui, auparavant, me faisait bien rire. Il y avait toujours eu cette petite partie au fond de nous, qui jouait, qui voulait piquer l’autre pour recevoir un pic de sa part. Comme une sorte de reconnaissance. Kostos était surement le garçon en qui je portais beaucoup plus d’attention que les autres, malgré ça, il ne le voyait pas. Il fallait dire que je m’y prenais assez bien pour qu’il ne le remarque pas. Je vous avais dit ! Tout est contradictoire lorsqu’il s’agit de Kostos Prokopios. J’avais peur d’être son « amie », peut-être la peur de faire un faux pas et perdre la personne qui compte le plus pour moi dans mon cercle d’amis : Shabella. Je vouais donc à ce cher Prokopios une pseudo-haine que moi-même n’arrivait pas à contrôler. Mes barrières étaient bien trop faibles et pouvaient tomber d’un moment à l’autre, mais je m’y résignais. Et plus je sentais lâcher prise, plus je revenais à la charge, un peu plus forte.
Son expression changea du tout au tout, il passa d’abord par une sorte de transe profonde, en plein dans ses pensées alors qu’il essayait en vain, de trouver la moindre chose qui pourrait le menait sur la bonne route. La question que je me posais à présent était : Mais quelle route voulait-il prendre. Ensuite, son visage se détendit pour laisser place à la curiosité, et sous ses yeux étonné et curieux, on aurait dit un visage d’enfant. Il avait envie de me questionner et cela se voyait. Moi-même, j’avais envie de lui répondre, mais comme toujours, j’aimais laisser planer le doute.
Je me mordis la lèvre inférieure pendant que les yeux de mon très cher ennemi parcouraient le généreux décolleté qui s’offrait à lui. Il fallait dire que mon coup avait littéralement marché, sans vraiment le vouloir. Non sans chance, son regard se durcit, ma réplique au sujet de Shabella l’avait complètement refroidit. Et en bon terme familier, je dirais que j’aurai mieux fais de fermer ma gueule.
Relation éphémère. J’aimais ce petit groupe de mots, il était comme synonyme de tromperie passagère chez Kostos. Lorsqu’on analysait ça phrase, cela donnait un genre tout à fait différent, comme par exemple : « Shabella fait ce qu’elle veut de ses soirées, et pour la barmaid, ce n’est pas ça, c’est juste quelques coup d’un soir. Rien de bien passionnant, juste un ou deux soir quand y’a personne à trouvé. ». Mais ce que j’aimais par dessus-tout chez lui, c’était les principes qu’il avait. Ne jamais tromper sa copine dans un endroit où elle connait du monde, n’aimer qu’elle malgré ses petites escapades. Je pouvais moi aussi supporter tout ça. Mais je n’étais pas Shabella.
- « Je ne suis pas la pour te juger Kos’. Fais ce que bon te semble, c’est ta vie, je ne suis pas Shab’, je ne suis pas toi, je n’ai pas à te donner de leçon. Je ne suis pas ce genre d’amies à Shab qui va cracher des saletés dans ton dos ou qui la pousse à te quitter. Je suis au courant de ce qu’elle fait et ce que tu fais. Et pourtant moi aussi je la ferme sur vos escapades. Tu l’aimes, tant mieux, elle t’aime, c’est parfait. Tant que tu ne l’a blesse pas, je ne viendrais pas t’arracher le cœur durant la nuit. Tu m’as compris. »
La conclusion que Kostos fut de moi m’étonna, je n’étais pas SAOULE. J’étais parfaitement consciente de ce que je faisais. D’ailleurs, il l’avait remarqué, mais pas de la meilleure manière. Kostos tirait des conclusions bien trop vite. Mes grands yeux s’écarquillèrent alors. Qu’allais-je donc répondre
- « No..Non, je suis consciente de ce que je fais ! J’ai détaché 3 boutons, je peux très bien en détacher 4. »
Je souriais lorsque je le fis passer sa main dans ses cheveux. Cheveux auxquels j’avais envie de m’y agripper l’instar d’un baiser. Mais, une fois de plus, je m’y résignais pour ne pas céder. Ce qui se passa par la suite me coupa le souffle. Kostos venait de lancer un regard menaçant à tous les hommes dans la salle osant me regarder d’une manière plus qu’envieuse. Il s’était ensuite rapproché de moi d’une manière si imperceptible que lorsque nos yeux se croisèrent, nous réalisâmes que nous deux corps s’effleuraient presque. Mon corps tremblait tandis que mon cœur battait la chamade. Et je maudissais Kostos de s’être rapprocher de moi aussi près. S’il entendait mon rythme cardiaque, il allait se poser des tonnes de questions, auxquelles je n’étais pas prête à répondre.
Jamais au grand jamais je n’avais entendu Prokopios bégayer, en tout cas, pas depuis notre première rencontre. Ca lui donnait un air plutôt mignon, d’autant plus qu’il rougissait. Je lui souris poliment, comme pour le rassurer que cela ne me gênait pas. Je passais ensuite mes mains autour de son cou avant de le regarder intensément, pas d’une manière sensuelle non. Mais je n’avais pas envie de partir. Il venait d’arrivé, moi aussi, et je ne comptais pas partir tout de suite
- « Kos’..La soirée vient de commencer. Je suis bien je t’assure. »
C’était la deuxième fois sur la soirée que je l’appelais Kos’, jamais je ne l’avais nommé ainsi. Ce n’était pas l’alcool qui me faisait agir ainsi, j’en étais sur. Aucun autre regard ne venait troubler celui que je lui portais à l’instant. Ma seule certitude était que peu à peu, mes barrières tombaient, une à une. Sans la moindre idée de ce que pourraient entrainer leur chute
You Can - Jules m. mctaylor
- Autres :
Dernière édition par Zaelynna L. Reinhback le Dim 31 Jan - 15:26, édité 5 fois |
|
SIGMA OMEGA IOTA - MODO - Lawrence B. Allen
• Messages : 209 • Date d'inscription : 19/12/2009 • Age : 33 • Localisation : Los Angeles .
| Sujet: Re: Zaelynna L. Reinhback Dim 31 Jan - 2:02 | |
| Bienvenue . Bonne chance pour la suite de ta fiche . |
|
ÊTA PI - ADMIN - Cédrino Dixon - Jacks
• Messages : 1161 • Date d'inscription : 17/10/2009 • Age : 31
| Sujet: Re: Zaelynna L. Reinhback Dim 31 Jan - 3:10 | |
| |
|