Il y avait bien longtemps que je n’avais pas passé une journée comme celle-ci.

Étant un samedi, j’avais dormi assez tard. Mes yeux s’étaient ouverts aux alentours de quatorze heures. Une fringale s’emparait de mon estomac. Heureusement, j’avais quelques petites réserves dans ma chambre. Si mes consœurs de fraternités savaient que je venais juste de me réveiller, je me serais certainement fait étrangler. Je suis certainement la moins studieuse de cette confrérie. Je passe peut-être le plus clair de mon temps sur mon ordinateur, mais ce n’est pas vraiment pour travailler, les jeux vidéos me branchent nettement plus.

Après avoir mangé quelques chips, une petite douche n’allait pas être de refus. Prenant tout mon temps, je retirais les sous-vêtements avec lesquels jamais dormis, puis d’un pas nonchalant je me dirigeais vers la douche & y entra. Je laissai couler l’eau chaude sur ma peau un bon quart d’heure. Puis, imaginant les remarques désobligeantes dont je pourrais faire les frais si j’utilisais toute l’eau chaude, je mis fin à ma douche en me lavant, me rinçant & sortant.

L’esprit de Noël trottait dans ma tête. Je commençais à fredonner « Jingle Bell », seul chant de Noël que je connaissais quasiment par cœur. J’attrapais une mini-robe d’un vert très sapin & des collants opaques noirs dans mon armoire, que j’enfilais rapidement. Je n’allais pas rester dans ma chambre aujourd’hui, bien qu’un peu de rangement dans celle-ci ne serait pas du luxe… Empoignant d’une main une paire de chaussures à talons & plateformes noires & de l’autre un gilet à bouton d’or marron, je trébuchais une fois de plus sur quelques vêtements qui encombraient le sol. J’enfilais ces deux dernières petites choses pour être fin habillée. Un rapide coup de brosse, de khôl & de mascara, & le tour était joué. Fin prête à sortir, je mis mon manteau sur mes épaules, agrippa mon sac à bandoulières, & pris le chemin de Los Angeles.

Je ne fis même pas attention à mes camarades qui se trouvaient dans les couloirs ou dans les autres pièces que je traversais. Je m’en fichais. Il était 15 heures. Une bonne heure, un samedi, pour voir toutes les personnes de l’université dans le centre ville, même les plus inattendues. Le froid s’était nettement installé dans la grande ville de Californie, habitués à des températures nettement plus élevés, nous, habitants de L.A. avions un mal fou à nous acclimater. J’aimais cette ambiance, tout le monde emmitoufler dans leurs gros manteaux…

J’avais aujourd’hui opté, comme beaucoup d’étudiants, d’aller en ville, me promener. Pour ce faire, j’enfourchai mon vélo, & me dirigeai paisiblement jusqu’au centre ville, où se trouvait un marché de Noël des, certainement, plus bondés. Je pédalais une bonne demi-heure. Et arrivais enfin à destination. J’accrochais mon vélo à un lampadaire, puis marcha nonchalamment jusqu’à la place où grouillaient d’innombrables personnes toutes plus vêtues les unes que les autres, & où jaillissaient des chants religieux, de noël, et autres. Le ciel commençait doucement à se foncer. La nuit allait bientôt tomber, & les lumières allaient être allumer.

Quand à moi, je déambulais tranquillement dans les allées lumineuses de ce magnifique marché. Tout les ans, je m’y rendais, souvent avec mon père, & chaque année était plus belle, plus colorée, plus chaleureuse. Soudain, je sentis une odeur plus qu’intéressante. Celle du vin chaud, chose que j’affectionne plus que tout. Prise d’une envie, je m’installai à une petite table, seule, & pris un vin chaud ainsi qu’un bretzel. Il n’y avait pas foule dans ce petit ‘’restaurant ‘’, nous n’étions que deux.

D’ailleurs, cet homme. Ce jeune homme plutôt. Me disait vaguement quelque chose, il était certainement scolarisé à l’USC… Il se retourna vers moi, comme si il pouvait lire dans mes pensées. Il me fit un léger sourire. Que je lui rendis avec nettement plus de réserve… Puis il s’approcha. & fit :

« je peux ? »

J’allais répondre « non vous voyez, je suis avec mes amis invisibles… », mais je n’en fis rien. Trop de personnes me prenaient déjà pour une folle…

On était samedi, Joe s'était levé au aurore pour aller faire son sport matinale, en effet chaque samedi de chaque semaine il aller dans le parc de la Southern California se faire un petit footing de deux heures, voir plus quand il avait vraiment la forme. Le jeune homme avais aujourd'hui fais du sport pendant un peut plus de deux heures, il était geler de la tête aux pieds, quand il rentrer dans sa maison universitaire les Lambda Delta Alpha, les sportifs de l'université. Il monta directement dans sa salle de bain priver prendre un bon bain bien chaud, il fit couler de l'eau pendant ce temps il se déshabiller, enlevant ses baskets de sports Nike, noirs et blanches, son survêtement et enfin son sweat - shirt, au couleur de sa confrérie ainsi que son bonnet et ses gants. Il montas le chauffage à fond, puis pris son bain, cela lui fessait un bien fou, il était enfin réchauffer. Le jeune homme restas environs vingt bonnes minutes dans l'eau avant de sortir, il c'était shampooingnai les cheveux et laver le corps. Il se mit une serviette autour de son buste et se brossas les dents, se coiffas et ensuite s'habilla, d'un jean, d'un pull « Jules » et se mit des Converses aux pieds. Mister Petterson sortis ensuite de sa salle de bain priver pour aller au rez – de – chaussée dans la cuisine se prendre un petit déjeuner bien mériter, au menus, Corn – Flakes avec du lait, jus d'orange et chocolat chaud, une fois après avoir finis de déjeuner, il remontas dans sa chambre pour regarder tranquillement la télévision, il était onze heures du matin. A la télé, il y avait la série « One Tree Hill » qui passer, une rediffusion de l'épisode 3 de la saison 4, l'épisode avait déjà être commencer depuis 10 bonnes minutes au moins vus l'avançai de l'intrigue de ce dernier, mais il rester tout de même à regarder, cet épisode, véritable accro' à la série américaine. Puis quand ce dernier fut finis, il était onze heures et quarante cinq minutes, il décidas d'aller manger en ville seul et ensuite d'aller trainer au marché de Noël qui se tenez près de la patinoire au centre ville installer spécialement pour les festivités de fin d'année. C'était le premier jour d'ouverture du marché et on sait tous que c'est au premier jour que c'est le plus magique, n'est ce pas ? Il était donc décider d'aller en ville manger dans un restaurant de restauration rapide, « Flunch », il pris un blouson qu'il avais dans son armoire et le mis sur son dos, sortis de sa chambre et pris une voiture qui était garer sur le parking de sa maison universitaire, c'était une BMW couper sport noir. Il mit le contact, et démarras direction le centre ville de Los – Angeles. 20 minutes plus tard, il était enfin arrivé sur le parking du restaurant, il y avait un monde fou sur ce dernier, pendant 10 minutes il tournas en rond pour se trouver une place, il descendis de sa voiture en ayant pris le soin de couper le moteur et fermas à clé sa BMW avant d'entrer chez « Flunch. » Il pris le menus spécial, hiver, c'était constituer de pommes de terres avec du fromage à raclette et en dessert un Brownies au chocolat avec des pépites de noisettes, il engloutis son repas en 20 minutes, toujours seul et partis du restaurant direction le marché de Noël. Le jeune sportif avait décider d'y aller à pieds car pour se trouver une place là – bas cela relever d'une mission impossible et puis le marché ne se trouver qu'à dix minutes du parking ou il avait garer sa voiture de sport et au moins où la BMW se trouver elle était en sécurité. Voila qu'après dix bonnes minutes de marche il était enfin arrivé, le marché était grandiose de mieux en mieux chaques années. Le jeune Lambda Delta Alpha déambuler tranquillement dans les ruelles, en admirant les stands, quand une envie de vin chaud et de Bretzel lui pris, il adoré chaque année s'arrêter au même restaurant, prendre la même chose et s'assoir à la même place en admirant silencieusement la vue qu'il avait sur tout Los – Angeles. Il se rendit donc dans ce fameux restaurant toujours aussi vide comme chaque année, un mystère car c'était un très bon petit coin de restauration avec une équipe chaleureuse et une vue panoramique extraordinaire. Ce qui le déçus en revanche cette année ci, c'était que sa place fétiche était prise par une jeune et charmante demoiselle, mais bon ... il se fit force et allas s'installer à la table derrière la sienne. Il commandas au patron du restau' un vin chaud et un Bretzel. Ce dernier le servis dessuite et Joe commences à déguster son vin et son Bretzel tout chaud, tout bon. Quand il remarquas que la jolie demoiselle qui lui avait « piquer » sa place, le regarder avec hébétement, Joe lui fit un sourire amical et cette dernière lui retournas le sourire mais avec plus de réserve. Monsieur Petterson s'ennuyer un peut – beaucoup et il décidas de se divertir et tiens pourquoi ne pas rendre une petite visite à la ravissante piqueuse de place qui avais l'aire d'avoir un balais de planter dans l'arrière train pour être si timide que cela (?) Il pris son vin chaud et son Bretzel et allas à sa rencontre en lui disant :

« - Je peux ? »

Lui dit – il avec un sourire.

Quand Joe, lui avait demander s'il pouvait s'assoir, à la même table qu'elle, cette dernière avait eu un long moment de réflexion, aller t - elle dire oui ou non ? Finalement, la jeune femme avait dit oui, ce qui soulageais assez le jeune homme, car se faire prendre un « vent » par une jeune inconnue ne lui aurait pas vraiment plus pour son égo personnel. Il s'assit donc à sa table en posant son Bretzel et son vin chaud dessus, apparemment elle aussi était une adoratrice du vin chaud et du Bretzel frais. Une fois installer à la table, il bus un peut de son vin chaud tout en admirant le marché de Noël et par la même occasion la jolie brune, il se disait qu'elle était pas mal dans son genre, fille coincé. Pendant se temps un silence assez pesant c'était installer, personne ne parler on se serrait dit à un enterrement. Intérieurement Joe, se demander comment faire pour entamer la discussion, lui demander son prénom ? Trop ringard, son âge ? Elle aurait pus prendre cela comme un interrogatoire. Pour une fois que le jeune homme était démunis, pour une fois il ne savait pas entamer une discussion avec une fille, qui lui d'habitude à la parole si facile, le tchat, si simple comme dirais une amie. Se silence devenais pesants, vraiment, il se demandais bien ce qu'il avait bien pus faire ici, pourquoi avait – il demander à venir s'installer près t – elle ? Il aurait du rester dans son coin tranquillement. Le jeune Lambda Delta Alpha, allait lui dire qu'il devais partir pour x raison quand à ce moment là, la jeune femme lui dit, qu'elle avais crus l'avoir vus déjà quelque part mais qu'elle ne savait plus ou justement. Joe, lui répondit avec un petit sourire :

« - Ah ... Ainsi, on s'est déjà rencontré. » Il avais envie de poursuivre en lui disant sur le ton de l'humour « sûrement dans mon lit, qui sais. » Mais il se retint de lui dire de peur de la vexer et qu'il passe à ses yeux pour un pervers sexuel. Il poursuivit donc sa phrase en disant :

« - Peut – être bien à l'université de Los – Angeles, la « Southern California » ? »

Cela aurait pus, elle avais l'âge pour étudier la – bas. Joe, regarder la jeune inconnue très séduisante déguster son Bretzel. Pour continuer la conversation il lui dit en souriant :

« - Sinon, tu fais quoi de passionnant dans la vie ? Quels sont tes hobbies ? »

Oula, franchement c'était super pourris comme questions, mais que faire de mieux, quand la fille qui est planter devant vous est aussi peut ... accueillante ?

Quelques secondes après des amis de Joe venuent lui rendre visite, ils échangèrent quelques paroles, quand ses derniers s'assirent tous à coter de Cocaïne et Joe sans vraiment demander la permission, enfin cela ne déranger pas Joe tout spécialement mais en revanche, on n'en sais pas plus pour l'autre demoiselle. Joe et ses amis étaient tous de la même confrérie les Lambda Delta Alpha, les sportifs du campus, ils s'entendaient très bien ensemble et se fessaient de bons délires, les longs soirs d'hiver. L'un d'eux dit d'un air sarcastique :

« - Dite les mecs ont devraient sûrement laisser Joe, il à des trucs à faire apparemment avec une jolie meuf, fraudais pas les dérangés, non ? »

Joe, laissas éclater un petit rire, il ne savait pas trop quoi répondre :

« - T'es c*n, Nick ! »

Il avait dis cela à son ami sur le ton de l'humour, même si c'est vrais ce qu'il avait dit n'était pas intelligent mais bon, les gens et les hormones . . .

Je dois avouer que sa compagnie n'était pas des plus interessantes. Il semblait avoir tout dans les muscles, & rien dans le cerveau. Sa gueule d'ange semblait diverger de son mental. Il avait un soupçon de perversion dans son regard. Il était étudiant. Sa voix portait les stygmates d'une puberté pas si lointaine. Mes soupçons se furent établis, car quelques secondes plus tard, il me demanda si je ne l'avais pas vu à la Southern. Souvent, ma première impression est la bonne.

"Oui, certainement. "

J'avais un ton détaché, je m'en fichais un peu. Puis je continuais, pour faire la fille bien chante jusqu'aux bouts des ongles...

"Laisse moi deviner... Tu es un sportif, non ? Tu n'es pas très baraqué, tu n'est donc pas joueur de football, tu n'as pas de bosses partout, ni de cicatrice, donc pas le hockey. Tu dois être un joueur sans interet de basket, c'est cela ?"

J'avais ce ton que moi seule savais employer. Un ton à la fois doux & ironique, je savais lancer des légers piques sans trop énerver mon interlocuteur, juste le titiller un peu, en, bien évidemment, touchant les cordes sensibles. Je sentais que deux choses pourraient se passer : soit je me prenais une bonne baffe, suivie de toutes les injures possibles & imaginables, ou bien il prendrait ça sur le ton de la rigolade, me tirant le portrait à son tour. J'aime que l'on me tire le portrait, que l'on se trompe sur moi, que l'on me croit différente, cela m'amuse.
Il me questionna sur mes activités, mes hobbies. J'avais envie de répondre quelque chose de sexuel, amusant, mais je n'en fis pas l'erreur. Lui répondre du tac au tac ? Moué. Je dois avoir une vie tellement banal en comparaison de la sienne.

"Je ne fais rien d'interessant. J'étudie, je passe du temps avec mon père, qui est totallement frappé, je joue à des jeux vidéos, je me masturbe en regardant des films pornos, vie banale, personne banale."

Je suis une personne qui aime l'humour, & qui passe du sérieux au débile. Je n'imaginais pour l'instant pas de réaction de sa part, hmpf, je m'en foutais royalement à vrai dire ! J'avais dis ce que j'avais à dire, point. J'avais remarqué, durant ma phrase aussi sérieuse que bizarre, une bande de jeunes hommes qui passaient devant ce stand, dont l'un s'était brusquement aretter, disant à ces comparses de venir avec lui à nos côtés. Ils s'approchaient de nous, puis, ils s'assèyerent autours de nous. Ils étaient certainement des amis de mon interlocuteur. Celui qui nous avait remarqué ouvrit la bouche, disant que j'étais une "jolie petite meuf", c'était flattant, dans un sens. Mais rien que le mot "meuf" me donnait envie de me prendre au lustre. Il pouffa un léger rire, comme si il était épris d'une gêne intense. Lui aussi me trouvait donc être une "jolie petite meuf" !

"Je ne suis pas une petite meuf ! Je suis une jeune femme, mais pas une meuf ! C'est un terme très péjoratif que vous ne devriez utilisés qu'auprès de blondes écervelées, faisant partie de vos cheerleaders, principalement !"

Joe venait de finir son verre de vin blanc tout chaud et son Bretzel, il fit signe à un serveur de venir à leur table, il recommandait le même menu et demandait à la jeune femme :

- « Tu veut peut – être quelque chose ? »

Puis Cocaïne lui dit : « Laisse moi deviner ... Tu es un sportif, non ? Tu n'es pas très baraqué, tu n'est donc pas joueur de football, tu n'as pas de bosses partout, ni de cicatrice, donc pas le hockey. Tu dois être un joueur sans intérêt de basket, c'est cela ? » Elle n'avait pas réellement tort sur toute la ligne sauf à deux – trois exceptions comme « joueur de basket sans intérêt. »
Joe, lui répondit en souriant, un sourire ironique :

- « Tu sais … tu n'a pas tort, à une seule exception près, je ne suis pas un joueur de basket sans intérêt, du tout. »

La jeune étudiante employer un ton assez comment dire ... agaçant sans l'être, cela énerver un peut Joe, mais en même temps le fessait sourire, intérieurement. Puis c'était enfin au tour de son interlocutrice de se présenter plus en profondeur. D'après cette dernière, à ce que l'on pouvait en comprendre de sa vie, c'était une vraie Geek, surement une membre des Eta Pi, les moins réputés du campus. C'était au tour du jeune basketteur d'envoyer valser Cocaïne :

- « Alors comme cela tu es une petite Geek, une « no - life » comme on dit. Un rat de laboratoire. Le genre de personne qui passe le plus de temps dans sa chambre plutôt cas sortir dehors et profiter de la vie. »

Il avait dit ses quelques paroles sur un ton de désinvolture, c'était sa petite vengeance personnelle, bien mérité. Puis des amis à lui venuent les rejoindrent, l'un d'eux dit : « jolie petite meuf », dessuite la jeune Geek, montait sur ses grands chevaux et dit d'un ton en colère : « Je ne suis pas une petite meuf ! Je suis une jeune femme, mais pas une meuf ! C'est un terme très péjoratif que vous ne devriez utilisés qu'auprès de blondes écervelées, faisant partie de vos cheerleaders, principalement ! » La tension monter, pour détendre l'atmosphère, Joe dit, d'un ton zen :

- « Du calme, Cocaïne. C'était sympa, ce que disais Nick, surtout quand on sait que tu es une … Eta Pi ! »

Puis le serveur, revenus avec la commande des jeunes étudiants, vins chauds et Bretzels en vus . . .

La jeune femme commander la même chose que moi, un bon petit vin tout chaud en ce temps d'hiver si froid. Le serveur partie chercher les deux commandes et entre temps, nous reprenions notre conversation sur le basketball, elle me dit : « je ne demande qu'à voir, tu sais. Je ne m'intéresse pas au basket. » C'était assez compréhensible, le basketball n'était pas un sport qui pouvait attirer tout le monde et surtout les filles. Je lui dit avec des arrières pensées :

- « Si tu veut on pourrais regarder un match de basketball à la télévision un de ces jours et si ta t'intéresse, je pourrais t'apprendre à y jouer. T'en pense quoi ? »

C'était à mon tour de cinglé cette chère Becklin, pour qui elle se prenait, celle - ci encore ? Elle se la jouer plus haut que son cul, ouai. Une fois que j'ai eu finis de "casser", cette Geek, ce fût au tour de Co' de se défendre, un peut comme une plaidoirie, la partie qui attaque l'autre et la partie attaquer doit se défendre. Elle me dit que je n'avais pas totalement tord, et blabla et blabla, elle disait que ce n'était pas une Geek et j'en passe, que de la tchat. J'avais pus remarquer dans sa voix qu'aucune pointe d'énervement ne c'était faite ressentir, au contraire elle était rester calme et poser.
Cocaïne me dit cette fois - ci, d'un ton un peut plus agacer : « tous les Êta Pi ne sont pas boutonneux et coincés, tu sais ... » Ce qui me fit sourire et je lui répondais en souriant d'un aire sarcastique :

- « Ah ... Bon, cela me surprend ! Tu en est sûr ? »

Une nouvelle fois j'avais encore cinglé, Cocaïne, et oui, faut pas me chercher moi, sinon on me trouve ...